Mais qu'est-ce qu'une bonne santé ?

Se sentir mieux, naturellement... Le principe essentiel d'une bonne santĂ© est d'ĂȘtre conscient de ses besoins et de ceux de son corps. Il faut savoir lire les signes et les symptĂŽmes avant qu'ils ne se dĂ©veloppent pleinement. Il faut agir pour prendre soin de soi. Être aimable et compatissant envers soi-mĂȘme.

Le mot « santé » fait rĂ©fĂ©rence Ă  un Ă©tat de bien-ĂȘtre Ă©motionnel et physique complet. Les soins de santĂ© existent pour aider les gens Ă  maintenir cet Ă©tat de santĂ© optimal. Prendre soin de soi de maniĂšre naturelle, sĂ»re et douce par la prĂ©vention : la mĂ©decine naturelle, la mĂ©decine douce, la nutrition, les bienfaits d’une activitĂ© sportive sont prĂ©sent pour prĂ©server et anticiper tous les effets nĂ©gatifs indĂ©sirables Ă  votre bien-ĂȘtre . Et lorsque la maladie vous frappe vous devez d’abord adopter une approche naturelle (lorsqu’il est possible de le faire bien sĂ»r), autrement la mĂ©decine, les mĂ©dicaments chimiques et les interventions chirurgicales seront lĂ  si vous en avez besoin. Une bonne santĂ© est donc essentielle pour gĂ©rer le stress et vivre une vie longue et active.

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Quelques faits sur la santé

La santĂ© peut ĂȘtre dĂ©finie comme le bien-ĂȘtre physique, mental et social, et comme une ressource permettant de vivre pleinement sa vie. Elle fait non seulement rĂ©fĂ©rence Ă  l’absence de maladie, mais aussi Ă  la capacitĂ© de se rĂ©tablir et de rebondir aprĂšs une maladie ou d’autres problĂšmes. Les facteurs de bonne santĂ© comprennent la gĂ©nĂ©tique, l’environnement, les relations et l’Ă©ducation. Appliquer des conseils en alimentation afin d’avoir une alimentation saine, l’exercice physique, le dĂ©pistage des maladies et les stratĂ©gies d’adaptation peuvent tous amĂ©liorer la santĂ© d’une personne.

La santĂ© mentale et la santĂ© physique sont les deux types de santĂ© les plus souvent Ă©voquĂ©s. On parle aussi de « santĂ© spirituelle » et de « santĂ© Ă©motionnelle ». On a Ă©galement Ă©tabli un lien entre la santĂ© mentale et physique par le fait d’un niveau de stress plus faible.

La Santé physique

Chez une personne en bonne santĂ© physique, les fonctions corporelles fonctionnent au maximum de leurs capacitĂ©s, non seulement en raison d’un manque de maladie, mais aussi grĂące Ă  un exercice rĂ©gulier, une alimentation Ă©quilibrĂ©e et un repos adĂ©quat. Nous recevons un traitement, lorsque cela est nĂ©cessaire, pour maintenir l’Ă©quilibre.

 

Le bien-ĂȘtre physique implique la poursuite d’un mode de vie sain afin de rĂ©duire le risque de maladie. Le maintien d’une bonne condition physique, par exemple, peut protĂ©ger et dĂ©velopper l’endurance de la respiration et de la fonction cardiaque, la force musculaire, la souplesse et la composition corporelle d’une personne. La santĂ© physique et le bien-ĂȘtre contribuent Ă©galement Ă  rĂ©duire le risque de blessure ou de problĂšme de santĂ©. Il s’agit par exemple de minimiser les risques sur le lieu de travail, de pratiquer le sexe sans risque, de pratiquer une bonne hygiĂšne ou d’Ă©viter la consommation de tabac, d’alcool ou de drogues illĂ©gales.

sante physique

La Santé mentale

La santĂ© mentale fait rĂ©fĂ©rence au bien-ĂȘtre Ă©motionnel, social et psychologique d’une personne. La santĂ© mentale est aussi importante que la santĂ© physique pour un mode de vie actif et complet. Il est plus difficile de dĂ©finir la santĂ© mentale que la santĂ© physique car, dans de nombreux cas, le diagnostic dĂ©pend de la perception que l’individu a de son expĂ©rience. Toutefois, grĂące Ă  l’amĂ©lioration des tests, certains signes de certains types de maladies mentales deviennent dĂ©sormais « visibles » dans les scanners et les tests gĂ©nĂ©tiques.

 

La santĂ© mentale n’est pas seulement l’absence de dĂ©pression, d’anxiĂ©tĂ© ou d’un autre trouble. Elle dĂ©pend Ă©galement de la capacitĂ© Ă  :

 

  • profiter de la vie
  • rebondir aprĂšs des expĂ©riences difficiles
  • atteindre un Ă©quilibre
  • s’adapter Ă  l’adversitĂ©
  • se sentir en sĂ©curitĂ©
  • rĂ©aliser votre potentiel

 

La santĂ© physique et la santĂ© mentale sont liĂ©es. Si une maladie chronique affecte la capacitĂ© d’une personne Ă  accomplir ses tĂąches habituelles, cela peut conduire Ă  la dĂ©pression et au stress, par exemple, en raison de problĂšmes d’argent. Une maladie mentale telle que la dĂ©pression ou l’anorexie mentale peut affecter le poids et le fonctionnement du corps. Il est important d’aborder la « santé » dans son ensemble, plutĂŽt que ses diffĂ©rents types.

sante mentale

La maladie du siĂšcle : Le Stress

Le malaise nous atteint lorsque nous sommes stressĂ©s. Nous avons tous Ă©tĂ© « stressĂ©s » Ă  un moment ou Ă  un autre de notre vie ; de nombreuses personnes vivent chaque jour avec un stress chronique. Le stress peut avoir de nombreuses causes, des sources externes sur lesquelles vous avez moins de contrĂŽle comme : un emploi stressant, une relation, des difficultĂ©s financiĂšres, un deuil, etc. Les facteurs de stress externes ont souvent un impact et contribuent aux facteurs de stress internes de l’organisme, tels que la dĂ©shydratation, les mauvais choix alimentaires, l’exposition Ă  des produits chimiques toxiques, la surproduction d’hormones de stress, les dĂ©sĂ©quilibres endocriniens (hormones sexuelles), etc. qui peuvent alors conduire Ă  une maladie aiguĂ« ou chronique.

 

DĂ©couvrez ce qui vous stresse, vous et votre corps. Apprenez de vos erreurs et de vos rĂ©alisations. Lisez les signes et les symptĂŽmes et adaptez ou modifiez ce que vous faites si nĂ©cessaire. Nous savons souvent que nous nous sommes surmenĂ©s ou que quelque chose ne va pas, mais nous ignorons les signaux. DĂ©veloppez votre conscience de soi afin d’ĂȘtre plus conscient de ce que vous faites et de vos interactions avec les autres.

 

Cette prise de conscience et, en tant que telle, l’augmentation de la sensibilitĂ© de notre corps intĂ©rieur nous aidera Ă  maintenir la santĂ© et l’Ă©quilibre intĂ©rieur, en nous aidant Ă  ressentir l’intelligence innĂ©e de notre corps (pour mieux l’Ă©couter) et Ă  rĂ©pondre Ă  ses besoins. En devenant plus conscient de notre corps, nous pouvons plus facilement compter sur les conseils de notre intĂ©rieur pour nous aider Ă  dĂ©cider ce que nous devons faire pour maintenir notre bien-ĂȘtre et notre santĂ©. En fin de compte, cela nous aidera Ă©galement dans notre quĂȘte d’autonomie, oĂč nous recherchons un indice intĂ©rieur plutĂŽt qu’un guide extĂ©rieur.

 

La pleine conscience et la mĂ©ditation sont un Ă©tat mental obtenu en concentrant sa conscience sur le moment prĂ©sent, tout en reconnaissant et en acceptant calmement les sentiments, les pensĂ©es et les sensations corporelles. Cela peut empĂȘcher votre esprit d’avoir des pensĂ©es prĂ©cipitĂ©es qui peuvent Ă  leur tour provoquer des symptĂŽmes physiologiques. Prenez le temps de vous arrĂȘter et de rĂ©flĂ©chir. Soyez conscient de ce qui vous stresse mentalement, Ă©motionnellement et physiquement. Ayez des moments de calme oĂč vous apprĂ©ciez les petites choses et souriez Ă  la vie.

Les Facteurs de bonne santé

La santĂ© dĂ©pend d’un grand nombre de facteurs. Une personne naĂźt avec une sĂ©rie de gĂšnes, et chez certaines personnes, un schĂ©ma gĂ©nĂ©tique inhabituel peut conduire Ă  un niveau de santĂ© moins qu’optimal.

 

Les facteurs environnementaux jouent un rĂŽle. Parfois, l’environnement suffit Ă  lui seul Ă  avoir un impact sur la santĂ©. D’autres fois, un dĂ©clencheur environnemental peut provoquer une maladie chez une personne gĂ©nĂ©tiquement prĂ©disposĂ©e. L’accĂšs aux soins de santĂ© joue un rĂŽle, mais l’OMS suggĂšre que les facteurs suivants peuvent avoir un impact plus important sur la santĂ© que celui-ci :

 

  • Le lieu de rĂ©sidence de la personne
  • L’Ă©tat du milieu environnant
  • La gĂ©nĂ©tique
  • Le revenus
  • Le niveau d’Ă©ducation
  • Les relations avec les amis et la famille

 

On peut les résumer comme suit :

 

L’environnement social et Ă©conomique : Y compris le niveau de richesse d’une famille ou d’une communautĂ©
L’environnement physique : Y compris les parasites qui existent dans une zone, ou les niveaux de pollution
Les caractéristiques et les comportements de la personne : Y compris les gÚnes avec lesquels une personne est née et ses choix de vie

 

Selon l’OMS, plus le statut socio-Ă©conomique (SSE) d’une personne est Ă©levĂ©, plus elle a de chances de jouir d’une bonne santĂ©, d’une bonne Ă©ducation, d’un emploi bien rĂ©munĂ©rĂ©, de se payer de bons soins de santĂ© lorsque sa santĂ© est menacĂ©e.

Les personnes ayant un statut socio-économique inférieur sont plus susceptibles de subir des stress liés à la vie quotidienne, tels que des difficultés financiÚres, des difficultés conjugales et le chÎmage, ainsi que des facteurs sociaux, tels que la marginalisation et la discrimination. Tous ces facteurs augmentent le risque de mauvaise santé.

 

Un statut socio-économique faible signifie souvent un accÚs réduit aux soins de santé. Les habitants des pays développés disposant de services de santé universels ont une espérance de vie plus longue que les habitants des pays développés ne disposant pas de services de santé universels.

Les questions culturelles peuvent avoir une incidence sur la santĂ©. Les traditions et les coutumes d’une sociĂ©tĂ© et la rĂ©action d’une famille Ă  ces derniĂšres peuvent avoir un impact positif ou nĂ©gatif sur la santĂ©. Par exemple, autour de la MĂ©diterranĂ©e, les gens sont plus susceptibles de consommer beaucoup de fruits, de lĂ©gumes et d’olives, et de manger en famille, par rapport aux cultures oĂč l’on consomme beaucoup de nourriture rapide.

 

La façon dont une personne gĂšre son stress aura des rĂ©percussions sur sa santĂ©. Les personnes qui fument, boivent ou se droguent pour oublier leurs problĂšmes sont susceptibles d’avoir plus de problĂšmes de santĂ© plus tard que celles qui combattent le stress par une alimentation saine et de l’exercice.

Les hommes et les femmes sont sujets Ă  des facteurs de santĂ© diffĂ©rents. Dans les sociĂ©tĂ©s oĂč les femmes gagnent moins que les hommes ou sont moins instruites, elles peuvent ĂȘtre plus exposĂ©es que les hommes Ă  un risque de mauvaise santĂ©.

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